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Témoignages

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Revue de presse

Revue de presse

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La start-up Arbitryum a
développé un outil de mesure et suivi-évaluation de la qualité de l’accompagnement en Ehpad fondé sur le droit aux choix et aux risques du résident.

La start-up Arbitryum a
développé un outil de mesure et suivi-évaluation de la qualité de l’accompagnement en Ehpad fondé sur le droit aux choix et aux risques du résident

La start-up Arbitryum a
développé un outil de mesure et suivi-évaluation de la qualité de l’accompagnement en Ehpad fondé sur le droit aux choix et aux risques du résident.

Arbitryum, liberté, égalité, séniorité

Fondée en 2018, Arbitryum est une entreprise sociale et solidaire qui a pour but de soutenir les gestionnaires d’établissement pour personnes âgées et leurs collaborateurs afin d’améliorer la qualité de vie des résidents.

Le groupe de résidences Mareva, qui compte quatre Ehpad à Vannes et Meucon (Morbihan), a sollicité Arbitryum, jeune entreprise de l’économie sociale et solidaire, pour mesurer la perception de ses résidents sur leur accompagnement, avec comme ligne conductrice le respect de leurs libertés au sein de l’établissement.

C’est une entreprise de l’économie sociale et solidaire (ESS) qui a mis au point un outil d’accompagnement des Ehpad (Établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes). Installée en région parisienne, Arbitryum a été créée en 2018, à l’initiative d’une jeune docteure en santé publique, sociologue du vieillissement, Sabrina Albayrak. À l’issue de sa thèse (sur le droit au choix et au risque pour les personnes âgées en situation de vulnérabilité), cette fille d’aide-soignante en Ehpad s’est associée à sa sœur, à un développeur, ainsi qu’à un ancien infirmier d’Ehpad.

Quel est le but de l’outil ?
Coconstruit avec plus de 240 personnes âgées, il vise à mesurer le respect des libertés en Ehpad et en résidences autonomie. « On s’intéresse aux perceptions des individus, car la subjectivité est aussi importante que n’importe quel indicateur », souligne Sabrina Albayrak. Comme un stéthoscope, Arbitryum « prend le pouls des établissements, reprend François Lescop, responsable du développement, en récupérant, à travers des questionnaires personnalisés, les perceptions subjectives de tous les protagonistes de l’Ehpad : les résidents, leurs proches et les professionnels. »

Lire aussi : Ehpad dans le Morbihan. Ce traitement des personnes âgées qui fait froid dans le dos

Quid de l’analyse des données ?
L’analyse de ces données permet de tirer des informations claires qui sont alors mises à disposition des équipes de management, dans le but de transformer l’établissement. Aucune question n’est écartée et les écarts de perception – sur le refus de soin, les protections urinaires, la consommation d’alcool, l’accès aux loisirs ou encore la sexualité – sont analysés. L’outil permet alors de discuter, de proposer des actions positives et d’étudier ensuite leur impact.

Lire aussi : Anne Morvan-Paris : « Le Morbihan aurait besoin de plus de places dans les Ehpad »

Qui a fait appel à Arbitryum ?
Outre la Croix-Rouge, pour ses 43 établissements, la jeune structure vient de signer un contrat de cinq ans avec les résidences Mareva. Le groupe, qui compte quatre Ehpad à Vannes et à Meucon (Morbihan), a été sensible au fait qu’Arbitryum offre « un point de vue novateur en termes de recueil des données et de l’avis » et qu’il interroge le « ressenti de chacun par le prisme de la liberté, beaucoup questionnée avec le Covid, indique Natacha Crespin, directrice adjointe de Mareva. Le ressenti des uns et des autres n’est pas le même et il est important d’en tenir compte. »

Quel est l’objectif à terme ?
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Inspired by
Arbitryum aimerait que tous les Ehpad de France soient engagés dans une démarche RSE (responsabilité sociétale des entreprises) et que l’avenir de la prise en charge de la dépendance se dessine dans le respect des libertés fondamentales des aînés. Arbitryum pourrait rentrer dans les référentiels de contrôle des Ehpad de demain et que la grille établie, la méthode de collecte des informations devienne aussi une norme dans les Ehpad plus tard.

Arbitryum, plateforme qui mesure la liberté dans les EHPAD et Résidences Autonomie.

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La start-up Arbitryum a
développé un outil de mesure et suivi-évaluation de la qualité de l’accompagnement en Ehpad fondé sur le droit aux choix et aux risques du résident.

La start-up Arbitryum a
développé un outil de mesure et suivi-évaluation de la qualité de l’accompagnement en Ehpad fondé sur le droit aux choix et aux risques du résident

La start-up Arbitryum a
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Arbitryum, liberté, égalité, séniorité

Fondée en 2018, Arbitryum est une entreprise sociale et solidaire qui a pour but de soutenir les gestionnaires d’établissement pour personnes âgées et leurs collaborateurs afin d’améliorer la qualité de vie des résidents.

Le groupe de résidences Mareva, qui compte quatre Ehpad à Vannes et Meucon (Morbihan), a sollicité Arbitryum, jeune entreprise de l’économie sociale et solidaire, pour mesurer la perception de ses résidents sur leur accompagnement, avec comme ligne conductrice le respect de leurs libertés au sein de l’établissement.

C’est une entreprise de l’économie sociale et solidaire (ESS) qui a mis au point un outil d’accompagnement des Ehpad (Établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes). Installée en région parisienne, Arbitryum a été créée en 2018, à l’initiative d’une jeune docteure en santé publique, sociologue du vieillissement, Sabrina Albayrak. À l’issue de sa thèse (sur le droit au choix et au risque pour les personnes âgées en situation de vulnérabilité), cette fille d’aide-soignante en Ehpad s’est associée à sa sœur, à un développeur, ainsi qu’à un ancien infirmier d’Ehpad.

Quel est le but de l’outil ?
Coconstruit avec plus de 240 personnes âgées, il vise à mesurer le respect des libertés en Ehpad et en résidences autonomie. « On s’intéresse aux perceptions des individus, car la subjectivité est aussi importante que n’importe quel indicateur », souligne Sabrina Albayrak. Comme un stéthoscope, Arbitryum « prend le pouls des établissements, reprend François Lescop, responsable du développement, en récupérant, à travers des questionnaires personnalisés, les perceptions subjectives de tous les protagonistes de l’Ehpad : les résidents, leurs proches et les professionnels. »

Lire aussi : Ehpad dans le Morbihan. Ce traitement des personnes âgées qui fait froid dans le dos

Quid de l’analyse des données ?
L’analyse de ces données permet de tirer des informations claires qui sont alors mises à disposition des équipes de management, dans le but de transformer l’établissement. Aucune question n’est écartée et les écarts de perception – sur le refus de soin, les protections urinaires, la consommation d’alcool, l’accès aux loisirs ou encore la sexualité – sont analysés. L’outil permet alors de discuter, de proposer des actions positives et d’étudier ensuite leur impact.

Lire aussi : Anne Morvan-Paris : « Le Morbihan aurait besoin de plus de places dans les Ehpad »

Qui a fait appel à Arbitryum ?
Outre la Croix-Rouge, pour ses 43 établissements, la jeune structure vient de signer un contrat de cinq ans avec les résidences Mareva. Le groupe, qui compte quatre Ehpad à Vannes et à Meucon (Morbihan), a été sensible au fait qu’Arbitryum offre « un point de vue novateur en termes de recueil des données et de l’avis » et qu’il interroge le « ressenti de chacun par le prisme de la liberté, beaucoup questionnée avec le Covid, indique Natacha Crespin, directrice adjointe de Mareva. Le ressenti des uns et des autres n’est pas le même et il est important d’en tenir compte. »

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Le groupe de résidences Mareva, qui compte quatre Ehpad à Vannes et Meucon (Morbihan), a sollicité Arbitryum, jeune entreprise de l’économie sociale et solidaire, pour mesurer la perception de ses résidents sur leur accompagnement, avec comme ligne conductrice le respect de leurs libertés au sein de l’établissement.

C’est une entreprise de l’économie sociale et solidaire (ESS) qui a mis au point un outil d’accompagnement des Ehpad (Établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes). Installée en région parisienne, Arbitryum a été créée en 2018, à l’initiative d’une jeune docteure en santé publique, sociologue du vieillissement, Sabrina Albayrak. À l’issue de sa thèse (sur le droit au choix et au risque pour les personnes âgées en situation de vulnérabilité), cette fille d’aide-soignante en Ehpad s’est associée à sa sœur, à un développeur, ainsi qu’à un ancien infirmier d’Ehpad.

Quel est le but de l’outil ?
Coconstruit avec plus de 240 personnes âgées, il vise à mesurer le respect des libertés en Ehpad et en résidences autonomie. « On s’intéresse aux perceptions des individus, car la subjectivité est aussi importante que n’importe quel indicateur », souligne Sabrina Albayrak. Comme un stéthoscope, Arbitryum « prend le pouls des établissements, reprend François Lescop, responsable du développement, en récupérant, à travers des questionnaires personnalisés, les perceptions subjectives de tous les protagonistes de l’Ehpad : les résidents, leurs proches et les professionnels. »

Lire aussi : Ehpad dans le Morbihan. Ce traitement des personnes âgées qui fait froid dans le dos

Quid de l’analyse des données ?
L’analyse de ces données permet de tirer des informations claires qui sont alors mises à disposition des équipes de management, dans le but de transformer l’établissement. Aucune question n’est écartée et les écarts de perception – sur le refus de soin, les protections urinaires, la consommation d’alcool, l’accès aux loisirs ou encore la sexualité – sont analysés. L’outil permet alors de discuter, de proposer des actions positives et d’étudier ensuite leur impact.

Lire aussi : Anne Morvan-Paris : « Le Morbihan aurait besoin de plus de places dans les Ehpad »

Qui a fait appel à Arbitryum ?
Outre la Croix-Rouge, pour ses 43 établissements, la jeune structure vient de signer un contrat de cinq ans avec les résidences Mareva. Le groupe, qui compte quatre Ehpad à Vannes et à Meucon (Morbihan), a été sensible au fait qu’Arbitryum offre « un point de vue novateur en termes de recueil des données et de l’avis » et qu’il interroge le « ressenti de chacun par le prisme de la liberté, beaucoup questionnée avec le Covid, indique Natacha Crespin, directrice adjointe de Mareva. Le ressenti des uns et des autres n’est pas le même et il est important d’en tenir compte. »

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Arbitryum, liberté, égalité, séniorité

Fondée en 2018, Arbitryum est une entreprise sociale et solidaire qui a pour but de soutenir les gestionnaires d’établissement pour personnes âgées et leurs collaborateurs afin d’améliorer la qualité de vie des résidents.

Le groupe de résidences Mareva, qui compte quatre Ehpad à Vannes et Meucon (Morbihan), a sollicité Arbitryum, jeune entreprise de l’économie sociale et solidaire, pour mesurer la perception de ses résidents sur leur accompagnement, avec comme ligne conductrice le respect de leurs libertés au sein de l’établissement.

C’est une entreprise de l’économie sociale et solidaire (ESS) qui a mis au point un outil d’accompagnement des Ehpad (Établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes). Installée en région parisienne, Arbitryum a été créée en 2018, à l’initiative d’une jeune docteure en santé publique, sociologue du vieillissement, Sabrina Albayrak. À l’issue de sa thèse (sur le droit au choix et au risque pour les personnes âgées en situation de vulnérabilité), cette fille d’aide-soignante en Ehpad s’est associée à sa sœur, à un développeur, ainsi qu’à un ancien infirmier d’Ehpad.

Quel est le but de l’outil ?
Coconstruit avec plus de 240 personnes âgées, il vise à mesurer le respect des libertés en Ehpad et en résidences autonomie. « On s’intéresse aux perceptions des individus, car la subjectivité est aussi importante que n’importe quel indicateur », souligne Sabrina Albayrak. Comme un stéthoscope, Arbitryum « prend le pouls des établissements, reprend François Lescop, responsable du développement, en récupérant, à travers des questionnaires personnalisés, les perceptions subjectives de tous les protagonistes de l’Ehpad : les résidents, leurs proches et les professionnels. »

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L’analyse de ces données permet de tirer des informations claires qui sont alors mises à disposition des équipes de management, dans le but de transformer l’établissement. Aucune question n’est écartée et les écarts de perception – sur le refus de soin, les protections urinaires, la consommation d’alcool, l’accès aux loisirs ou encore la sexualité – sont analysés. L’outil permet alors de discuter, de proposer des actions positives et d’étudier ensuite leur impact.

Lire aussi : Anne Morvan-Paris : « Le Morbihan aurait besoin de plus de places dans les Ehpad »

Qui a fait appel à Arbitryum ?
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